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grand remplacement - Page 4

  • Regardez les Juifs

    « Belle Leçon pour non-juifs ET JUIFS de Gauche surtout et les naïfs de Droite également: une éducation juive-talmudique-et-expérimentale contre la Désespérance du Pape et des pauvres arabes….. »

    François,
    « la souffrance combustible du terrorisme » ?  
    2 décembre 2015  

    Cher François,

    Dans le plaidoyer passionné pour la justice sociale que vous faites dans une adresse aux législateurs kenyans à Nairobi la semaine dernière, vous avez affirmé que « la violence, les conflits et le terrorisme ... sont alimentés par la peur et le désespoir ... né de la pauvreté et de la frustration."
    Pourtant, rien, pas même le désespoir, ne peut justifier le terrorisme. Les racines du terrorisme se trouvent seulement dans l'éducation sur la base de la haine. (Ndl: et la folie incipiens des masses)
    Nous, les juifs avons beaucoup d'expérience avec le désespoir. Mais notre histoire montre d'autres façons plus constructives d’agir hors de lui. Le désespoir n'a jamais été une justification pour les Juifs à commettre des actes violents au nom de notre religion.
    Nous avons défilé dans les rues de Rome dans les chaînes alors que notre sanctuaire à Jérusalem était en flammes.
    Nous avons été jetés dans des amphithéâtres où les lions et les spectateurs affamés attendaient notre sang.
    Nous avons été brûlé en auto-da-fé, nous avons été appelés marranes, notre éclairage de bougies et des prières dans notre langue ancestrale ont été interdits.
    Nous avons été expulsés d'Espagne.
    Nous avons erré dans de nombreux pays à la recherche d'une nouvelle maison.
    Nous avons été massacrés dans les pogroms, nos synagogues incendiés, nos enfants enrôlés dans les armées desquelles ils ne sont jamais revenus.
    Nous avons été privés de notre droit au travail, de posséder, de voter, de prendre la parole.
    Nous avons été volés de cette dignité que tout être humain doit bénéficier en droit quand il est né. Nos dents en or ont été arrachées de nos bouches et nos bras
     
    marqués comme si nous étions des animaux pour l'abattoir.
    Nous avons dit : nous sommes avec vous dans  
    « votre patrie » et maintenant que nous sommes à la maison, certains nous disent après des siècles de « sortir de là ».
    Nous les Juifs sommes une partie indissociable du tissu historique de notre monde. La présence juive est le dénominateur commun de la plupart des pays du globe. Dans chaque lieu où nous sommes arrivés sur cette terre, nous avons produit des poètes, des mathématiciens, des physiciens, des écrivains, des hommes politiques, des scientifiques, des médecins, des inventeurs.
    Même quand nous étions enfermés dans des ghettos, nous n’avons jamais cessé d'écrire, penser, discuter, produire du bon.
    Nous n'avons jamais mis nos vies en veille, même pas pour un peu de temps. Malgré tout cela, nous ne sommes pas pour couvrir nos têtes de cendres pour des milliers d'années. Nous avons chargé notre destin sur nos épaules, lié l'héritage de nos ancêtres dans nos cœurs et nous sommes allés chercher un nouvel endroit où nous pouvions respirer à nouveau.
    Si vous avez été enseigné que chaque instant sur cette terre est la plus grande richesse que vous possédez, et que la vie est le don le plus précieux que vous avez reçu quand vous êtes né, il n'y a ni le temps ni la volonté de se vautrer dans l'apitoiement.
    Et il n'y a pas de place pour le ressentiment.
    Nous sommes retournés, sans nos parents, nos frères, nos enfants, nos maris et femmes, en Allemagne,
     
    en Italie et en France.
    Nous étions sous les fenêtres de nos maisons et regardions les étrangers qui vivent actuellement dans des endroits qui nous appartenaient avant la guerre.
    Nous avons retroussé nos manches, révélant les numéros estampillés avec le feu sur nos bras, et nous avons tout recommencé à zéro.
    Les pays concernés par les vagues de migration devraient étudier l'histoire juive et notre modèle d'intégration. Dans chaque nouveau lieu où nous sommes arrivés, nous avons eu notre règle d'or: ne jamais « glisser sur vos larmes ».
    Nous n’avons pas attendu
     
    de compassion de la part des pays qui ont ouvert leurs frontières pour nous. Nous avons dès le début voulu nous intégrer dans le tissu social de la place qui nous accueillait. Et tout en les remerciant, nous avons contribué au développement de nos talents et des progrès, les nôtres et les leurs.
    Il y a ceux qui utilisent le désespoir comme une justification pour le meurtre d'innocents. Et il y a ceux qui ont mis de côté le désespoir, le bloquer dans le tiroir de la mémoire, et d'essayer de remonter vers le haut, en se concentrant sur de nouvelles opportunités.
    Cher François, Secrétaire John Kerry, Hillary Clinton, vous êtes avec des centaines de gens influents
      dans  le monde à la recherche d’une raison, d’un motif, derrière la transformation des individus en tueurs fanatiques.
    Même si vous puisez dans les vies tragiques personnelles de ces tueurs pour les excuser (bien que dans la plupart des cas, ils vivent exactement, dans leur société, au même niveau que ceux qui les entourent), même si elle était vraiment comme ça, désespérante, rien ne peut justifier un acte de violence aveugle contre un autre être humain.

    Rien, rien, ne peut donner le droit à un individu à priver un autre de sa vie. Cherchez des justifications à leurs actes signifie une seule chose: la préparation du terrain pour le prochain acte brutal qui selon eux devrait plaire à D.ieu.
    L’Histoire n'a jamais maltraité une nation plus que ce qu'elle a maltraité le peuple juif. Mais partout où le vent de la haine nous a transportés, nous avons intégré, nous avons appris la langue locale, en récitant par cœur Whitman, Eliot et Dickinson.
    Nous avons inventé le cheesecake pareve.
    L'intégration est quelque chose que vous avez à vouloir et à travailler tous les jours. Nous n’avons jamais demandé au pays qui nous a accueillis à s’adapter à nos règles. "Dina demalchuta dina" - la loi de la terre qui vous accueille doit devenir votre droit
     - dit le Talmud.
    Une réelle intégration, même pour des gens les plus désespérés, peut être réalisée. Mais elle dépend d’abord et avant tout, des valeurs transmises par la religion, les familles et les enseignements de ceux qui sont arrivés avant. Et cela dépend de la volonté de faire partie de la société d'une manière constructive et positive. 

    Méditez donc cette lettre au Pape !! Nous dit MON ami Jacques Borek [jacques.borek@neuf.fr] 

    Et pardonnez ma traduction, je suis nul en Anglais 

    Francis NERI

    05 01 16

     

  • "Accueillir" est le terme officiel

    Nous nous devons d’accueillir les migrants. Je pense que l’Etat Français et « CE » gouvernement seront satisfaits nous allons le faire.
    Un peu partout, NOUS allons les « accueillir » et la qualité de notre accueil sera bien entendu fonction de leur comportement et de leur capacité d’intégration, ainsi que de leur utilité sociale, économique etc.
    Le Bloc identitaire a déjà commencé à les accueillir très correctement. Il montre l’exemple à suivre.

    Il fait preuve d’une grande compassion envers ceux qui ont tout perdu à cause de la guerre que les USA  et un peu nous aussi …enfin nos dirigeants …  avons provoqué dans leurs pays.

    Nous commencerons par accueillir les femmes non voilées, plutôt chrétiennes, en priorité, que musulmanes.
    Les enfants jeunes également, car ces derniers nous pourrons encore leur faire partager nos cultures et nos valeurs pour peu que nous les séparions des hommes jeunes et qui peuvent fort justement devenir assez vite des islamistes radicaux extrêmement dangereux.
    Le simple principe de précaution doit nous rendre d’une grande vigilance et après les avoir fait passer un rigoureux contrôle d’identité assorti, comme aux USA, d’un test au détecteur de mensonge, nous procèderons au renvoi immédiat par charter et voie maritime en fond de cale des indésirables en les priant d’aller défendre leur pays et de ne plus revenir dans le notre sous peine d’une sentence bien plus sévère s’ils étaient repris.

    Le problème devrait être ainsi rapidement réglé, surtout si nous supprimons également le regroupement familial, et toutes les aides nombreuses, couteuses et inutiles que nos « gouvernants » successifs ont nuisiblement instaurés.

    Je crains pourtant que pour régler vraiment le problème il nous faudra attendre que Marine Le Pen soit au pouvoir. A moins que le tenant actuel du poste décide de prendre du recul et de démissionner, ce dont je doute. Il va nous falloir attendre 2017.

    Alors soyons prudents si nous ne voulons pas nous retrouver sur la paille humide de NOS cachots !   

     

    Francis NERI

    25 10 15

  • Islam et complexité

    Si vous voulez étudier un individu, un groupe, étudiez le dans son milieu, son contexte.
    Si vous voulez vraiment comprendre un musulman (il semble hélas que ce soit à nouveau nécessaire de comprendre son ennemi afin de mieux le combattre) voyez comment il se comporte en Algérie, au Maroc, en Syrie, en Lybie, en Arabie Saoudite etc.
    Chez lui il est authentique. Il est dans son environnement économique, territorial, cultuel, social, celui qui l’a déterminé.
    Il en est dépendant et, c’est cet environnement, cultuel en particulier, qu’il voudra reproduire dans les moindres détails chez nous, maintenant qu’il croit nécessaire de quitter son monde, qu’à l’exemple de ses sauterelles il croit avoir détruit avec l’aide de quelques prédateurs occidentaux.
    Il ne voit même pas, cet islam d’une époque définitivement révolue, que son monde regorge de richesses qu’il ne saura jamais exploiter de lui même.
    Il faudra bien à un moment donné en finir avec leur religion, la mettre sous tutelle et revenir mettre de l’ordre dans leur fourmilière humaine, les réguler et les contrôler.

    Mais en attendant, comme le musulman est par nature inassimilable en tant que tel, sa présence deviendra bientôt absolument indésirable et, par rétroaction notre système autonome et ouvert se fermera afin de préserver son individualité et son originalité !
    Alors, le musulman succombera en raison de son incapacité à s’adapter à un nouvel environnement.

    L’idée de remigration fait son chemin ! C’est une bonne chose mais d’une grande complexité, car elle pose la question de l’origine des causes et des responsabilités individuelles et collectives.
    « L’effet revient de façon causale sur la cause qui le produit » (Norbert Wiener) et il faut se demander si l’islam est produit ou producteur et donc cause de NOS problèmes ?

    Qui et comment faut il « remigrer » ? Les islamistes ou ceux qui les produisent ? Et par lesquels faut-il commencer ?

    Francis NERI
    04 08 15